Les étreintes romantiques, très peu pour Gabrielle, 48 ans, femme mure de Marseille eurasienne. Cette belle bourgeoise brune qui se bute au sport et au sexe brutal, voire animal, parfois extrême. Secrètement, elle possède un compte chez Kink.com et aime particulièrement les videos fetish de Gangbang. Mais dans la vraie vie, notre cougar salope n’a pas encore trouvé le maître, le mâle dominant qui a su débusquer son point G le plus sensible. Personne ne se doute qu’elle chérit des penchants hardcore lorsqu’on voit son corps parfait et ses tendances un peu superficielles. Toute sa vie, elle a dominé des hommes en commençant par son mari qui l’aimait aveuglément. Mais comme beaucoup de femmes mures, cette belle brune aux gros seins siliconés cherche l’absolu. Ainsi, elle se tourne vers de jeunes mecs fougueux, un peu bad boys.
Cette bombe sexuelle fantasme de plan à 3 avec deux voyous
A Marseille, elle est servie en termes de bad boys. Il suffirait qu’une petite racaille des Quartiers Nord lui mettent le grapin dessus, elle serait aux anges. En effet, derrière ses airs de madone, Gabrielle veut simplement se faire dominer. Pour résumer, une nuit avec elle, c’est lui tirer les cheveux, frapper ses gros seins à les en faire rougir malgré le silicone et les UV. C’est une raison pour laquelle cette cougar divorcée fait du sport et du renforcement musculaire. Deux voyous qui la coinceraient et baiseraient brutalement en plan à 3 et feraient misère à sa chatte. Voilà le plan partouze qui la fait tremper abondamment.
Entre le fetish et l’animalité des rapports sexuels
Gabi a déjà vu un psy parce que cette appétence pour les rapports sexuels animaux et violents l’inquiétaient elle-même. Beaucoup d’interrogation sur son rapport au sexe. Est-elle simplement fétichiste ou déviante ? Sa psy l’a rassurée direct en lui disant que sa positon de domination sociale et l’ennui que ça pouvait provoquer dans la vie privée, pouvait la pousser à désirer une sexualité décadente. En effet, plus on a de pouvoir, plus on a envie de se faire humilier et rabaisser. Elle peut être rassurée et se dire que marcher à quatre pattes en se faisant tenir en laisse, tout en se faisant insulter, n’est pas si grave. Après tout, aucune sexualité n’est déviante tant qu’elle n’affecte pas la psyché et la vie privée. Notre cougar divorcée peut donc continuer à entretenir des relations de sexe brutal sans culpabiliser.